Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Aller retour d'un Célibat

Archives
Publicité
16 juin 2011

Idée de génie.....

Afin de pigmenter mon nouveau et tout frais célibat  (frais à m’en donner la nausée d’ailleurs – allez comprendre), me voilà de retour sur ce site de rencontre

Nous ne le citerons pas, sachez seulement qu’il est doté d'une couleur criarde, et que son nom est prometteur.

Qui s’occupe du design et de la promo ‘’ accrocheuse’’ de ce genre de site ?

J’imagine déjà, l’homosexuel casé, et heureux en ménage, prenant ce job de comm’ comme un challenge :

Rendons les gens amoureux – c’est notre métier !

 

Quelques échanges épistolaires donc, pour mon plus grand bonheur (j’aime les mots…zaviez deviné)

Passé le cap des messages inutiles du genre :

-‘’Salut t’aime soumettre les hommes ? J’aime faire des cadeaux, le ménage et obéir à une femme’’

Auquel vous répondez :

 ‘’ Cela tombe bien je n’ai plus de parfum, ma femme de ménage est en vacances, et je m’essaye au dressage de chien, le mien pisse partout, tu pourrais donc m’être d’une grande aide’’’

(On ne sait jamais, peut-être que c’était de l’humour, mais vu le silence qui s’en suivi, je dû me résigner, le Monsieur était donc sérieux…)

 

Il y a aussi le message long, pénible et qui reprend point par points ce que tu dis dans ton descriptif.

Celui du gars, en général, 5 ans plus jeune ou 17 ans plus âgé qui n’ a donc rien d’autre à foutre et qui te balance une tartine, en phonétique ou pas, mais chiant pour sûr.

Le genre de message auxquels ton éducation te pousse à répondre, mais dans le fond tu n’en fais rien – bien trop peur, tu penses qu’il s’emballe et se mette à te re-répondre.

 

Et puis il y a celui qui écrit bien, qui fait preuve de décence et d’humour tendre,

Celui  à qui, même si tu n’as pas vu sa photo, tu réponds

(Première grave erreur –toujours demander une photo d’abord !!)

 

Parce que une fois l’échange engagé, tu ne peux plus te retirer en disant : ‘’oups, déso, t’as vraiment trop une sale gueule’’

 

Et c’est comme cela, par jeu ou par pitié (les deux peut-être)

Que je me suis retrouvée, assise dans un parc pour un rendez-vous, qui je le savais ne mènerai à rien.

 

Mais je me suis prise au jeu, je me suis inventé un monde romantique ( ben oui ! ne dit-on pas ‘’ jamais mieux servi que par soi-même ?)

 

J’ai donc, à coup de jolies phrases, de mystère ( si, si je peux paraître mystérieuse si je n’ai pas bu :o)

 

Réussi un rendez-vous digne des plus grands romans.

Bon, je me répète, si le Monsieur avait été un canon, on aurait vite viré à la banalité d’un premier rencart, (voir à se peloter derrière un buisson !) mais le scénario eût donc perdu tout son sens.

 

L’idée que j’ai suggéré donc à cet ami était une rencontre, assis tous deux sur un banc, face à une fontaine et de n’échanger mot. Quelques minutes …suspendues…en silence….

De repartir , chacun de notre côté et de nous écrire, ensuite notre envie ou non de nous revoir.

 

Je sais, je sais, j’ai des idées géniales, parfois !!

 Bcp plus pittoresque et bucolique que la rencontre furtive au night shop du coin,

 

Et là, tu te rends compte du ridicule de la situation, toute entière…..

Ne dire mot ? Chose difficile, vraiment.

 

Je remercie le physique ingrat de la victime qui me facilita grandement la chose.

 

Tu vois passer devant toi toute la tristesse de l’être, tu vois en quelques instants le pouvoir que tu peux, malgré toi avoir sur l’autre.

 

De voir le Monsieur gesticuler comme un enfant devant pisser,

Le regarder te mimer des questions et rester stoïque face à sa solitude.

Tu sais toi, que tu te raccroches précieusement au scénario pour fuir cette situation idiote.

 

L’idée y était avouez ? la romance, le parc, le regard, Alexandre Jardin lui-même m’en envierai la fin…

 

Retour ensuite à ma vie, en silence comme cet échange, celui de 2 âmes en peine qui veulent encore y croire,

Ou de deux cons, c’est selon (quoiqu’il ait eu l’air bcp bcp plus con que moi sur ce coup-là !!)

Direction donc, la station de métro, vers le reste de ma soirée qui croyez moi n’avait pas fini d’être  ….

Aller et retour d’un célibat – aller- comme : Ca va aller…………..

 

 

 

 

Publicité
Publicité
16 juin 2011

Grue qui l'eût cru?

Après ‘’l’homme’’ - celui -ou-on- y- a- cru,

Pour de bonnes ou mauvaises raisons…toujours est- il qu’il est temps de passer à autre chose.

Le berçage d’illusion, syndrome typiquement féminin, appuyé, avouons-le par les bonnes copines, cesse…et il était temps…. Voici donc le schéma :

L’ex, n’est plus, mais il est gentil,

Il vous lance quelques compliments, voir e-mail de culpabilité, des petits clins d’œil, le tout vous maintien dans un état de –tout-est-encore-possible-entre-nous-

Il veut vous revoir, parce que après tout vous êtes belle, drôle et formidable… (Merci, ça, on le savait !)

 

Jusqu’au matin, ou, prise de vertige, de ceux qui prennent les cons quand ils se réveillent.

 

Vous tournez la page.

 

OUF ! S’ensuit donc la phase 2, celle que les femmes censées entament en faisant du sport, en re-mangeant bio et cuit vapeur…

Pour moi la phase 2 consiste à recommencer, si, si

(nous ne ferons jamais assez le tour de la question- à savoir : Mais pourquoooooi ???)

 

J’insiste, je persiste et je signe…

 

Comparable aux lendemains de veille –plus-jamais-je-ne-boirai-une-seule-goutte-d’ alcool-

Je recommence toujours, allez savoir….à titre expérimental peut-être ?

 

Et la – action /réaction : sorties- site de rencontre- shopping –spécial jupe qui les fera tous craquer…..

 

Telle une drogue, une habitude, un kick malsain, me voilà repartie sur le marché de la viande, malodorant et aux horaires indécents….

Les conditions de stockage de viande de nos jours sont accablantes,

Orthographe atrophiée, ex-en-tête, divorce crapuleux, physique ingrat, ou pire encore, doté d’un œil vicieux, la viande de nos jours, n’est plus de toute première fraicheur.

Comme si tous étaient atteints d’une maladie incurable, de celles qui rendent tout amour impossible.

On cherche alors le joyau, n’y croyant plus trop, se raccrochant toujours à l’idée, que oui, le dernier, je l’ai bien trouvé là, perdu dans la masse ???

 

Pour faire son marché, il faut, on le sait, se lever de bonne heure, mais aussi et surtout

Se charger de motivation et ardeur, de celles que l’on mettrait à fumer une dernière cigarette avant un vol transatlantique.

 

Après fouille approfondie, s’ensuivent alors les premiers, ceux qui n’ont pas la moindre idée de la tigresse blasée et enragée à laquelle ils ont affaire.

Quelques mots, un rencart, un resto…

Le choix du resto (je prends toujours soin de leur en laisser le choix, surement par fainéantise et par test) devrait déjà être déterminant.

Oui, le potentiel mâle en quête d’amour à la vie dure, mais cela, on le sait , et après tout….on s’en fout !

Une bise agréable, un rayon de soleil prometteur, tout autant que son sourire ou ses tempes grisonnantes.

L’on se charge d’objectivité (Méthode Coué de mise, l’on se répète : ‘’Laisse lui une chance, laisse lui  une chance, laisse lui une….putain pars en courant !!!!…..’’)

Après 3 phrases, le verdict tombe,  cruel : soirée de merde en perspective.( j’espère qu’ils ont au moins de la mousse au chocolat correcte…)

En mode expérience, on écoute, retiens (se retiens de rire, aussi…)

Et on pense aux copines…..aux fous rires que le récit de cette rencontre nous provoquera, à défaut, parler de cette mauvaise soirée nous en fera passer une bonne à venir.

 

Rien n’est perdu donc - tout est équation - puis au moins on aura bouffé.

 

Le plus excitant dans la rencontre avec un autre être humain, un nouvel être humain, c’est ce que l’on peut en apprendre, en retirer de passionnant, de nouveau, de palpitant.

Les grues ne font pas partie de ma liste.(perso, hein !chacun son truc….Si cela vous intéresse, je connais donc un expert en la matière…)

Entendre parler de grues, de grues de chantier et d’apprendre que, oui, elles ont toutes une petite vie du haut de leur 300 mètres…..

Les grues se lèvent tôt figurez-vous, les grues sont capricieuses (ben oui, on dit pas ‘’une’’ grue pour rien non plus !)

Les grues ont des problèmes d’équilibre, les grues coûtent cher, les grues , les grues , les grues….

 

Mais croyez-le ou non, j’ai amèrement regretté les aventures des grues, lorsque Monsieur s’est  ensuite mis à parler de son ex.

J’ai eu beau tenter un timide :  ‘’Ah ? Et elle aimait bien les grues  ?’’

 Histoire de le relancer sur le sujet précédent, mais rien n’y a fait.

 

Quelle ne fût pas ma surprise aussi, ( et celles des tables avoisinantes…) lorsque mon rencart se mit à mimer les scènes dont apparemment son ex était friande.

Des imitations donc, de femelle enragée, (mal faites, pauvre garçon ne sera, en plus, jamais acteur !)

 

Vint enfin le moment ou Monsieur me dit :

‘’On va y aller, parce que demain, je me lève tôt, tu sais l’installation d’une……’’

Et là, je m’entend  crier (comme le reste du resto d’ailleurs) ‘’ Oui, je sais , une GRUE !!’’

……..J’ai craqué, pardon………

 

Le ‘’passage à autre chose’’ est à double tranchant.

Gagnant ou perdant, mais quand on perd, BAM, on retourne à la case départ….

Celle du –‘’ berçage d’illusion’’ du ’’ -tout-est-encore-possible-entre-nous’’.

Tout est à refaire………………un gros bordel de chantier du cœur…………

et sur ce coup-là , une grue pourrait aider, pour soulever l’immensité de votre connerie………..

CQFD - Il n’y a pas de hasard-

Aller et retour d’un célibat – aller- comme : Ca va aller…………..

16 juin 2011

Le Dieu

 

 

Puis y a le Dieu, le mec quand tu le vois tu te dis que Vincent Cassel devrait se faire refaire le nez- pour avoir le sien,

Ce qu’ il y a de bien avec le Dieu, c est que ben sur ce coup t’es la seule adepte.

 

Tes potes pensent plus à Tchernobyl en le voyant qu’à Cassel, mais soit comme dans toute religion ou croyance…cela ne s’explique pas.

 

LE Dieu sera à l’origine dune fâcheuse habitude, celle dont toute femme voudrai se détacher :

-les surnoms- plus spécifiquement- le surnom des ex- ou des mauvais souvenirs.

 

Le Dieu en sera donc le déclencheur, fallait bien qu’il laisse des commandements après tout, pour un dieu, c est un minimum.

Appelons-le donc Pink lady ou Dieu.

 

Il restera la plus surprenante des aventures et la plus longue aussi, en minutes - d’ennui…

 

Timide, imbu et charmant, si si tout ça (DIEU je vous dis !!)

 

Roi des malentendus ou des faux pas, il fut le seul, de ma vie ( et de celle de BCP d autres-connaissez mon amour des stats à ce stade –ci)

à m’avoir épluché une pomme post-coïtal


La pomme restera donc une grande question, une façon de focaliser, dans ce cas précis sur le POST coïtal

( le sien, hein pas le mien !)

afin, peut être également d’en oublier l’atrocité.

LA solitude se joue parfois mieux à deux, surprenant, je sais.

 

 

Surprenante ne fut pas la première claque sur les fesses,

dont la résonance (voilà déjà 17 minutes que j analyse à défaut tout bruit extérieur a notre accouplement, histoire d avoir un truc à raconter aux copines, après…)

me perturba quelque peu ….(temps que je raffermisse tout ça moi !)

 

Surprise donc, par ma capacité à ne mot dire, ( pas évident l assertivité qd tu es de dos aussi)

 

À ne pas faire ma liste de course et a ne pas hurler : «  Mais arrête connard, ça fait 25 min que tu secoues le lit, puis tes claques la a chaque fois je perds mon compte de moutons ! »

 

Je ne passerai pas la nuit la, vous l’avez deviné, et je ne mangerai pas non plus sa putain de pomme !

 

Ce qu il faut éviter de faire aussi à tout prix, c est de rencontrer un DIEU ou autre dans un lieu ou lui, comme vous, êtes toutes les semaines,

 

On fini par développer une rougeur systématique sur la fesse droite, et une haine invétérée pour les pommes (ce qui n aide pas le régime, donc la fin du célibat-CQFD)

C est handicapant, du coup, si , si

16 juin 2011

Aller et Retour ....

Aller Et retour d’un célibat

 

 

Le célibat - aller

Aller pour ‘’ aller c'est parti, aller la liberté, aller de-merdes toi et fais ton café toi-même….

Aller comme : ca va aller…

 

Le célibat on en vient , on y revient, on en sort, on en ressort, et on-y-revient-toujours.

 

Comme une saloperie de Monopoly qui n’a qu’une seule groooosse case départ.

 

Case départ, forcément, on naît célibataire – du moins j aime à y croire

- ne parlons pas  des-différences-de-culture-que-in vitro-elle-était-déjà-promise,

voir du destin , ce destin même qui est censé choisir si oui ou non, l’on croisera l’âme sœur.

 

On a tout entendu, toute les phrases censées être réconfortantes, venant, toujours d’un couple épanoui, tellement épanoui, qu il ne veut que ton bonheur parce que…dans le fond il n’y a que cela de vrai…..

( doivent qd même être frustrés quelque part ceux-là vu leur fâcheuse tendance à  te refiler leur potes pourris à la moindre occasion- au cas ou, sur un malentendu, un  désespoir…enfin zavez compris)

 

Puis il y a la réalité, la mienne et celle de nombreuses femmes, toutes éduquées à croire que servir l’homme est leur devoir, leur seule raison de vivre –que-sinon-tu-vas-finir-vieille-fille !!

Et après on s’étonne qu’une fois qu’elles en trouvent un, elles s’y accrochent et deviennent ce que l’on appelle un peu,comment dire ? Difficiles ? On va dire ça !

 

Essayez seulement de dire a un animal qu’il va mourir si il ne trouve pas de partenaire, et voyez un peu ce que cela donnerai…

Je vois déjà les femelles d’une tribu de lémuriens, s’associer, afin de capturer le mâle qui leur garantirai une vie et un avenir….

 

Et après, on s’étonne…..

Je m’étonne que l’on s’étonne encore… étonnant, non ?

Soit ce n’est pas le débat, ou, si ?

Je ne sais plus

 

Le célibat on le souhaite, souvent, un peu comme un réflexe, on l’appréhende aussi mais quoi qu’il advienne, une fois dedans, on veut à tout prix en sortir,

C’est de cet à-tout-prix dont je veux vous parler,

 

Des mêmes à tout prix que je ne suis malheureusement pas la seule à avoir traversé, bonant-malant,

quelques minutes de bonheurs, des café servis dans des tasses sales (tu penses il vit seul ce con et n’a même pas de lave-vaisselle),

Des larmes des cris, des mauvais coups, bref, tout ce que j’ai été prête à subir ou à croire pouvoir subir pour ce bonheur ce Holly graal qu’est l’amour éternel

Zavez dit amour ???

On y croit !

 

Autre chose aussi ne jamais oublier, celui qui un jour fût ‘’c’est l’homme de ma vie putaaaaiiiin’’

devient toujours, inévitablement ‘’ gros connard’’ dans le meilleur des cas…je ne citerai pas le reste.

 

C’est une loi universelle….si contact hormonal il y a eu- haine s’en suivra,

je met au défit quiconque de me prouver le contraire – cf. : le coup des lémuriens- zavez suivis ?

 

(ben oui, le mâle capturé fini toujours par se faire bouffer faute de collaboration – ou pire- zavez pas vu le reportage sur National geographic ? soit, c’est pas le sujet, ou si ? je ne sais plus!)

 

LE célibat – pour en sortir –il y a l’étape UN- la seule dans le fond, rétrospectivement qui en vaut vraiment la peine.

 

Cette chimie souvent très arrosée d’alcool et le tout parfumé de pseudo romance nocturne. Dans le meilleur des cas

 

Il y  a ensuite, la version, plus moderne mais très répandue du site de rencontre

 

Petit plus de ce dernier, on peut désormais draguer,

les tifs gras, une cloppe roulées au bec, dans son vieux pyjama tout doux mais tout pourri et monsieur n’y verra que du feux

(par contre, un conseil, éviter l’emballement,

surtout le soir ou vous avez ENFIN décidé de faire ce fameux-soin-mayonnaise-spécial-cheveux-sec,

parce que  la tu expliques comment au monsieur que non il te faudra 45 min pour atteindre le night shop

en bas de chez toi pour une rencontre furtive totalement spontanée et impulsive, hein ???bref !)

 

La rencontre, ce moment ou dans 87% des cas

 ( ben ouais en gros statistiquement 2% de muets, 7% qui ne parlent pas notre langue et 4% de alors-lui-il-est-vraiment-trop-con)

87% des cas donc ou les mots coulent à flot cette impression que l’on se connaît depuis tjrs et autre sensation débile, qui sont , rappelons-le a 98% hormonales

( je vous épargne les stats ce coup-ci )

Bref ces premiers moments sont les meilleurs…….

 

Et puis un jour, tu le rencontres lui

Il te rappelle quelqu’un, et il ne te plait pas, mais tu es envahie, d’une grande sérénité en le voyant.

Alors tu fais tout et n’importe quoi, (bon ça, on le sait c est ta spécialité, pourquoi aurait il après tout eu un traitement de faveur ??)

 

Il est là comme si il l avait toujours été, il est charmant mais il est avant tout l’archétype du gars que tu as tjrs cherché.

Ce con qui t a évitée toutes ces années,

 

Mais on ne choisi pas,  la tête qui tourne cette fois-ci, elle tourne toute seule

Au point de voir de la passion dans ses yeux alors qu’il n’y en a pas .

Au point de croire à ce schéma, a cet archétype et a en oublier toi-même ce que tu ressens, ce que tu sens………

Ouais, parfois les hormones se trompent,

 

Ouais, parfois les hormones se taisent ou ne parlent pas assez fort et la,…. la…ben t es dans la merde !

Parce que le cœur, lui, dans le fond il s en tape des hormones si il accroche , il accroche….

 

Va t en lui expliquer après que c’est l’autre la,

la phéromone 492 qui n a pas fait son job ???? (tu penses elle était encore cuitée de la veille, bref zavez suivi)

 

Et la on se rend compte, que de grimper dans un lit parsemé de draps frais, ben c est plus si le kick que ça si Monsieur n’est pas là pour les souiller…..

 

Célibat- aller-

Comme : ça va aller- comme case départ- aller et retour d’un célibat.

 

Et attention ce coup ci aux hormones et aux soirées traitement-mayonnaise-spécial-cheveux-sec, ce soir-là, bordel tu restes chez toi !!

 

(t’as déjà essayé de sentir ou ressentir quelque chose a côté d un pot de mayo ???) C-Q-F-D


Demain, j’arrête la mayo, et le célibat, ou pas ….

 

 

 

Publicité
Publicité
Publicité